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Mes spécialités

J'ai une formation généraliste de diététicienne nutritionniste grâce à mon diplôme d'état. Je peux ainsi vous aider dans votre problématique notamment si vous souhaitez perdre du poids ou si vous souffrez de diabète ou de prédiabète. 

Néanmoins je me suis spécialisée dans l'accompagnement de la femme et ses problématiques spécifiques telles que les troubles hormonaux comme la ménopause, l'hypothyroïdie, le SOPK, mais aussi l'endométriose ou l'accompagnement de la femme enceinte.

Les troubles hormonaux

Les troubles hormonaux sont fréquents chez la femme. Que ce soit de l'hypothyroïdie, des cycles menstruels perturbés ou absents, la ménopause, l'alimentation et la micronutrition aident à rétablir l'équilibre et diminuer les symptômes désagréables.

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La grossesse

C'est un moment où il faut être particulièrement vigilant avec l'alimentation à cause des risques de toxoplasmose et de listériose. 

Je vous aide également si vous avez du diabète gestationnel, dont j'ai aussi souffert, notamment grâce à l'alimentation IG bas, mais sans privation. En adoptant certaines règles de vie, le diabète peut être régulé, et parfois éviter pour une future grossesse.

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Le SOPK

Le syndrome des ovaires polykystiques touche 1 femme sur 7 et est la première cause d'infertilité. Ce syndrome, encore trop peu connu, impacte beaucoup la vie des femmes qui en sont atteintes.

Il s'agit d'un dérèglement hormonal avec notamment une hyperandrogénie qui peut provoquer de l'acné, de l'hirsutisme, une prise de poids, des douleurs, de l'insulinorésistance et encore bien d'autres. 

L'objectif de ma prise en charge est de vous aider à rétablir vos fonctions métaboliques en vous évitant/traitant le diabète, de soigner vos symptômes grâce à l'alimentation et la micronutrition.

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L'endométriose

Maladie encore très mal diagnostiquée, très invalidante et douloureuse. Je vous accompagne grâce à 2 piliers : l'alimentation anti-infllammatoire et anti-oxydante qui aide à réduire les douleurs et la prise en charge des troubles digestifs (qui concerne 50 à 60 % des femmes atteintes d'endométriose)

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